Nous avons
acheté une voiture. Il faut voir comme elle est belle. C’est moi qui l’ai
sortie du garage et l’ai amenée chez nous. Dan a pris plaisir à passer pour le
passager paresseux car, il faut bien le dire, c’est lui qui conduit
habituellement.
Mais, de cela,
je vous en parlerai une autre fois. Ce que je veux souligner aujourd’hui c’est
la durabilité des choses.
Exemple :
la voiture que nous venons d’acheter. Chez le concessionnaire, elle était
affichée pour 18.000 € et, arrivée chez nous, elle ne valait plus que 12.500 €.
Comment est-ce
possible ?! Aurais-je fait un accrochage, aurais-je eu un accident ou me
serait-il arrivé un incident quelconque ? Non, rien de cela, c’est une
dévaluation de convention ! Dès que vous achetez quelque chose, cette
chose n’est plus considérée comme neuve et a perdu de sa valeur. Pour la
voiture, 10 minutes après sa sortie du garage, elle perd 25 % de sa
valeur !
Et vous, vous
trouvez cela normal. C’est le même objet et il vaut moins parce qu’il appartient à quelqu’un ! Quelqu’un d’autre que le producteur, j’entends.
Eh bien moi,
cela me dérange. La dévaluation est trop importante. C’est une convention
‘pousse-à-l’achat’ qui me déplait. Et puis, qui a convenu de cette
convention ?
L’objet n’est pas le même selon le propriétaire. Il n’est pas
non plus le même 10 minutes après l’achat et 10 mois après utilisation.
Pourtant, les ‘professionnels’ parlent d’années !
A réfléchir.
Et, pas seulement pour les voitures ; tout objet acheté est concerné : déprécié dès le paiement.
Comme convenu
avec mes amis, voici leurs blogs : Anselme
Lutin, avidoxe, Dan&Dina, dinadedan, EcrirePastel, Elsass-by-Nath, Ateliers
d'écritureS, Eric Valloni, Gravillons et Doutes, Polars
en Sud Alsace et VittorioDenim
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