... et, le doute conduit à la vérité.
C’était
les « Pâques » qui ont ravigoté le commerce ce week-end dernier. Et, naturellement, la « bouffe » a
fait du mal et aux agneaux et aux poissons. Je suis touchée : c’est triste.
On
a beau faire des yeux de merlan frit devant toutes ces victuailles, on ne peut
pas rester muet comme une carpe. Et, sans engueuler les participants comme
poisson pourri, il faut se rendre à l’évidence : « Les requins de la
finance se remplissent les poches qui ne sont déjà plus plates comme une limande ! »
C’est à tomber sur le « sole ».
Pour
me remonter le moral, Dan m’a dit :
« Si
à la vue, c’est frais comme un gardon et qu’on cherche à noyer le poisson, il y
a anguille sous roche ! »
Mais,
comment pourrait-on être heureux comme un poisson dans l’eau quand on se rend
compte de ce qu’on voit !
Il
y a trop de gaspillage pendant les fêtes. Méfions-nous, nous avons mis notre
tête sur le billot et, le « cas billot » a « mu reines » et
rois… étêtés.
Et
puis, tous ces agneaux sacrifiés sur l’hôtel de graille, pourquoi ?
Après-tous, le carême n’est plus respecté !
Je
sais, je suis consciente que cette histoire finit en queue de poisson mais, je
tenais à le dire, sans hausser le « thon », sans changer de "lieu" ni de "bar".
On retient mieux avec un
peu d’humour. Attention, demain a commencé hier et aujourd’hui n’est qu’un
présent ! L'Homme est un "loup" pour l'Homme.
Pour continuer
à avoir une bonne santé, consommez l'humour D&D :
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convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Dan&Dina, dinadedan, EcrirePastel, Elsass-by-Nath, gravillons, et VittorioDenim
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